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Je veux la toucher cette lumière, celle que l’imbuvable me donne, ce buvard auquel je m’abandonne.

Cette came consommée et ma Camel qui se consume dans un brouillard plus translucide qu’une putain de goutte d’acide.

Crevez, mes yeux d’enfant, voici venu le temps du soleil, puissant et affligent.

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